La section ci-dessous fournit une description de l’indicateur.
Nom de l'indicateur |
Pourcentage de la population vivant dans des zones où les concentrations des polluants atmosphériques sont inférieures ou égales aux Normes canadiennes de qualité de l’air ambiant de 2020 |
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Nom de la cible |
Augmenter le pourcentage de la population à travers le Canada vivant dans des zones où les concentrations des polluants atmosphériques sont moins élevées ou égales aux normes, d’un pourcentage de 63 % en 2005 à 85 % en 2030 |
Description de l'indicateur |
Cet indicateur mesure la proportion de la population canadienne vivant dans des zones où les concentrations des polluants atmosphériques extérieurs étaient inférieures ou égales aux Normes canadiennes de qualité de l’air ambiant (NCQAA, les normes) pour 2020. Les normes sont des objectifs de qualité de l’air pour les concentrations de polluants dans l’air extérieur axées sur la santé et l’environnement. Elles visent à mieux protéger la santé humaine et l’environnement ainsi qu’à favoriser l’amélioration continue de la qualité de l’air partout au Canada. Environnement et Changement climatique Canada (ECCC) |
Couverture géographique |
Canada |
Unité de mesure |
Pourcentage |
Calculs |
L’indicateur est calculé en comparant la concentration moyenne des polluants pour chaque zone géographique avec les Normes canadiennes de qualité de l’air ambiant (NCQAA, les normes) de 2020 correspondantes. Les données relatives à la population totale de toutes les zones géographiques où les concentrations moyennes de tous les polluants sont inférieures ou égales aux normes correspondantes sont comparées à celles de la population nationale. (ECCC) |
Commentaires et limites |
De 2005 à 2021, environ 63,5 % de la population vivait dans des zones couvertes par des stations de surveillance de la qualité de l’air désignée qui répondent aux critères d’exhaustivité des données. L’indicateur se fonde sur l’hypothèse que le reste de la population vit dans des zones où les concentrations d’ozone, de particules fines, de dioxyde de soufre et de dioxyde d’azote dans l’air extérieur sont inférieures ou égales aux normes pour 2020 qui les régissent. Les populations des régions du Nord disposent d’une couverture moins importante, car les stations de surveillance ont tendance à être situées à proximité de zones urbaines qui ont une densité de population plus élevée. En raison de la variabilité imprévisible des phénomènes météorologiques extrêmes, comme les feux de forêt, les résultats peuvent fluctuer considérablement d’une période de déclaration à l’autre. (ECCC) |